Plus de 150 000 postes seraient à pourvoir dans le secteur manufacturier. Une avenue à considérer : le recours à une agence de placement qui permet autant à un candidat potentiel d’être orienté vers un employeur de choix qu’à ce dernier de dénicher la perle rare. Tour d’horizon des facteurs pouvant expliquer cette véritable pénurie de main-d’œuvre.
Dans l’esprit de plusieurs, un emploi dans le secteur manufacturier est physique, répétitif et redondant. Pourtant, cette industrie vit une réelle révolution numérique et, pour s’adapter aux multiples changements technologiques, elle recherche des gens non seulement qualifiés, mais aussi flexibles et désireux de perfectionner continuellement leurs apprentissages afin de progresser au sein de l’entreprise.
Puisqu’elles impliquent souvent de quitter famille et amis, les régions éloignées et intermédiaires ont moins la cote auprès des chercheurs d’emplois. Pourtant, ceux qui font ce choix optent pour un mode de vie plus près de la nature, loin des embouteillages, et donc, du stress d’une circulation dense et du manque de places de stationnement. Parmi les incitatifs additionnels, certains peuvent être d’ordre financier tels que crédit d’impôt pour nouveau diplômé travaillant dans une région ressource éloignée, déduction des frais de déménagement, frais pour soins médicaux non dispensés dans la région et déduction pour résident d’une région éloignée reconnue.
Mythe ou réalité ? Difficile à dire. La population québécoise âgée de plus de 65 ans est effectivement plus nombreuse, cependant, elle reste active et en santé.
Parmi les pistes de solution à explorer pour contrer la pénurie de main-d’œuvre dans le secteur manufacturier, retenons celles-ci :
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